mardi 28 décembre 2010

La neige n’a pas bloqué seulement les routes, mais également les voies ferrées et les aéroports. Retards dans les trains, avions annulés… c’était vraiment la « pagaille » dans les transports en commun mercredi en fin de journée. La SNCF et la RATP ont fait état jeudi en fin d’après-midi d’un retour à la normale sur leurs réseaux. A Roissy comme à Orly, Aéroports de Paris (ADP) a annoncé un « retour progressif à la normale », signalant toutefois « des retards d’une à deux heures en moyenne ».

samedi 25 décembre 2010

Le mot « patronyme », d’origine grecque, signifie « nom du père ». Il peut désigner deux sortes de nom différents :

* le nom de famille Page d'aide sur l'homonymie est un nom héréditaire qui se transmet de parent à enfant, en principe inchangé sur plusieurs générations ;
* le nom patronymique est, dans certaines cultures, le prénom du père d’une personne rappelé avec le prénom propre de cette personne (typiquement Xxx, fils de Yyy ou ben Yyy) ; il change donc à chaque génération.

vendredi 12 novembre 2010

A faire ou pas. Les bonnes résolutions, est-ce que ça sert ? On ne sait pas. Mais pourquoi s'en priver...
Waouh !

Des petits liens vers des blogs que j'aime bien, il faut cliquer si je ne m'abuse.

vendredi 27 août 2010

La mode du goûter des enfants est vraiment assez bizarre. J'explique. Quand j'étais enfant, il y avait un goûter à quatre heures, point barre. Maintenant, il y en a deux : un à dis heures, l'autre à quatre. Il n'est pas toujours facile de ne rien donner. Or, les enfants se copient les uns les autres et beaucoup ont des goûters industriels.

Je suis archi contre, surtout que non seulement c'est mauvais au goût, premiuer grief, mais il est certain que tous les gras et sucres inductriels sont plus mauvais pour la santé que les gras et sucres maison. je veux dire, un gâteau maison, avec beurre et sucre, est moins mauvais qu'un gâteau industriel.

Donc je propose à mon fils des goûters maison, suffisamment bons pour qu'il les préfère aux goûters industriels : donc beaucoup de chocolat, de trucs sucré, mais avec des saveurs.

Je fais une pâte à tartiner au caramel (tout con : crème + caramel à sec) que je tartine sur des sandwich. Ou du chocolat fondu. Ou les deux (hé hé).

Parfois aussi il a des goûters salé : sandwich au fromage, ou fromage tomate, fromage concombre.

Et vous, que faites-vous? Ou bien vous vous moquez des gouters industriels?

lundi 26 juillet 2010

Aux Feuillantines

Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants.
Notre mère disait: jouez, mais je défends
Qu'on marche dans les fleurs et qu'on monte aux échelles.

Abel était l'aîné, j'étais le plus petit.
Nous mangions notre pain de si bon appétit,
Que les femmes riaient quand nous passions près d'elles.

Nous montions pour jouer au grenier du couvent.
Et là, tout en jouant, nous regardions souvent
Sur le haut d'une armoire un livre inaccessible.

Nous grimpâmes un jour jusqu'à ce livre noir ;
Je ne sais pas comment nous fimes pour l'avoir,
Mais je me souviens bien que c'était une Bible.

Ce vieux livre sentait une odeur d'encensoir.
Nous allâmes ravis dans un coin nous asseoir.
Des estampes partout ! quel bonheur ! quel délire!

Nous l'ouvrîmes alors tout grand sur nos genoux,
Et dès le premier mot il nous parut si doux
Qu'oubliant de jouer, nous nous mîmes à lire.

Nous lûmes tous les trois ainsi, tout le matin,
Joseph, Ruth et Booz, le bon Samaritain,
Et, toujours plus charmés, le soir nous le relûmes.

Tels des enfants, s'ils ont pris un oiseau des cieux,
S'appellent en riant et s'étonnent, joyeux,
De sentir dans leur main la douceur de ses plumes.

vendredi 4 juin 2010

Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes,
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !

Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.

Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !

vendredi 30 avril 2010

C'est ce que je pense en lisant ce post. Curieusement.
Le poids de ce qu'on a à faire dans la vie, de tout ce qui nous pèse, et qu'on n'a pas forcément envie de faire.

Et la conséquence, enfin l'effet secondaire actuel, c'est le concept de lâcher-prise. Comment fait-on ?

Comment décide-t-on de lâcher prise, on décide juste, comme cela, et ça se met en place ?

Comment échapper aux influences parfois lourdes de son passé, de son entourage ?

lundi 26 avril 2010

Une magnifique journée !